Novembre 2018

J’ai été chauve pendant 15 ans, mais en juin dernier, tout a changé!

J’ai commencé à perdre mes cheveux vers l’âge de 25 ans. À 30 ans, je commençais sérieusement à ressembler à un moine. J’ai donc pris la décision de me raser la tête. Je me souviens encore du premier coup de vent qui a soufflé en traversant un pont, la caresse de la brise sur mon crâne fraîchement tondu.

Les premiers matins, je m’effrayais moi-même en me voyant dans le miroir de la salle de bain. Je croyais que quelqu’un d’autre se trouvait devant moi. J’avais envoyé une photo par courriel à mes parents, afin de leur montrer mon nouveau look. Je n’ai reçu aucune réponse. Facebook n’existait pas à l’époque, donc je n’avais pas l’option de recevoir des « likes » ou des commentaires instantanément. Ma sœur m’a alors dit au téléphone, quelques jours plus tard: « Les parents ont bien reçu ta photo, mais ne savent pas comment réagir… »

J’ai été chauve pendant 15 ans, mais en juin dernier, tout a changé!

J’ai commencé à perdre mes cheveux vers l’âge de 25 ans. À 30 ans, je commençais sérieusement à ressembler à un moine. J’ai donc pris la décision de me raser la tête. Je me souviens encore du premier coup de vent qui a soufflé en traversant un pont, la caresse de la brise sur mon crâne fraîchement tondu.

Les premiers matins, je m’effrayais moi-même en me voyant dans le miroir de la salle de bain. Je croyais que quelqu’un d’autre se trouvait devant moi. J’avais envoyé une photo par courriel à mes parents, afin de leur montrer mon nouveau look. Je n’ai reçu aucune réponse. Facebook n’existait pas à l’époque, donc je n’avais pas l’option de recevoir des « likes » ou des commentaires instantanément. Ma sœur m’a alors dit au téléphone, quelques jours plus tard: « Les parents ont bien reçu ta photo, mais ne savent pas comment réagir… »

Les mois passent et deux amis montréalais me parlent de la Clinique Capillaire de Montréal. Avec photos à l’appui, le résultat semble exceptionnel. Puisque j’avais trois semaines de congé en juin, qui se terminaient à Montréal, j’ai décidé de tenter ma chance à nouveau et j’ai fixé un rendez-vous.

Avant de continuer, je tiens à préciser que ce billet n’est pas commandité et que j’ai payé pour l’ensemble du traitement reçu. Je suis très objectif dans mes commentaires.

Je suis accueilli par une équipe qui s’y connaît. Pendant la consultation, on ne me pousse pas à acheter quoi que ce soit, on ne me partage que quelques conseils. Évidemment, je ne suis pas leur premier client, mais leurs conseils semblent plutôt avisés. Convaincu, je sors ma Visa et décide de tenter l’aventure.

Après avoir choisi le dosage de cheveux blancs (car j’ai tout de même plus de 20 ans), on a pris la forme de mon crâne, car mes futures commandes allaient se passer à distance, puisque je n’habite plus à Montréal. La pièce est découpée. On me rase le dessus de la tête et l’on est prêt à coller: grâce à une colle chirurgicale, tout se fait très simplement.

Puis, il ne reste plus qu’à couper, styler et redécouvrir un nouveau look. Et là, je réalise que je n’ai ni peigne, ni brosse, ni sèche-cheveux… rien! Mais, chez Jean Coutu, on trouve de tout!

Les premières semaines furent un apprentissage: savoir jouer avec les cheveux, recoller un peu le devant (car on y met pas mal de pression en se coiffant) et avoir ce truc sur la tête, ça fait bizarre.

Volontairement, je n’ai mis aucune photo sur mes réseaux sociaux pendant 6 semaines. Voir l’expression sur le visage de mes amis et collègues était « priceless ». Les commentaires étaient excellents, mais on m’a souvent dévisagé en me demandant: « As-tu changé de lunettes? ». Vraiment? Essaie encore!

Je me sens bien dans ma peau, mais avoir des cheveux me rajeunit de 10 ans. C’est un système sans chirurgie, qui peut être retiré en tout temps, abordable et tellement simple d’entretien!